source: Wikipédia
Notre hymne français: La Marseillaise
La Marseillaise est un chant patriotique de la Révolution française adopté par la France comme hymne national : une première fois par la Convention pendant neuf ans du 14 juillet 1795 jusqu'à l'Empire en 1804, puis définitivement en 1879 sous laTroisième République1.
Les six premiers couplets sont écrits par Rouget de Lisle en 1792 pour l'Armée du Rhin à Strasbourg, à la suite de la déclaration de guerre de la France à l'Autriche. Dans ce contexte originel, la Marseillaise est un chant de guerre révolutionnaire, un hymne à la liberté, un appel patriotique à la mobilisation générale et une exhortation au combat contre la tyrannie et l'invasion étrangère. L'origine de la mélodie reste incertaine, Rouget de Lisle ne l'ayant pas signée, mais des recherches en musicologies semblent indiquer que la composition serait reprise du Thème et variations en Do majeur2 composé par Giovanni Battista Viotti en 17813.
La Marseillaise est décrétée chant national le 14 juillet 1795 (26 messidor an III) par la Convention, à l'initiative du Comité de salut public. Abandonnée en 1804 sous l’Empire et remplacée par le Chant du départ, elle est reprise en 1830 pendant la révolution des Trois Glorieuses qui porte Louis-Philippe Ier au pouvoir. Berlioz en élabore une orchestration qu’il dédie à Rouget de Lisle.
La IIIe République en fait l'hymne national le 14 février 1879 et, en 1887, une « version officielle » est adoptée en prévision de la célébration du Centenaire de la Révolution. Le 14 juillet 1915, les cendres de Rouget de Lisle sont transférées aux Invalides.
Pendant la période du régime de Vichy, bien qu'elle soit toujours l'hymne national, elle est souvent accompagnée par le chantMaréchal, nous voilà !4. En zone occupée, le commandement militaire allemand interdit de la jouer et de la chanter à partir du17 juillet 19415.
Son caractère d’hymne national est à nouveau affirmé dans l’article 2 de la Constitution du 27 octobre 1946 par la IVeRépublique, et en 1958 — par l’article 2 de la Constitution de la Cinquième République française.
Valéry Giscard d'Estaing, sous son mandat de président de la République française, fait diminuer le tempo de la Marseillaise afin de retrouver le rythme originel.
Les six premiers couplets sont écrits par Rouget de Lisle en 1792 pour l'Armée du Rhin à Strasbourg, à la suite de la déclaration de guerre de la France à l'Autriche. Dans ce contexte originel, la Marseillaise est un chant de guerre révolutionnaire, un hymne à la liberté, un appel patriotique à la mobilisation générale et une exhortation au combat contre la tyrannie et l'invasion étrangère. L'origine de la mélodie reste incertaine, Rouget de Lisle ne l'ayant pas signée, mais des recherches en musicologies semblent indiquer que la composition serait reprise du Thème et variations en Do majeur2 composé par Giovanni Battista Viotti en 17813.
La Marseillaise est décrétée chant national le 14 juillet 1795 (26 messidor an III) par la Convention, à l'initiative du Comité de salut public. Abandonnée en 1804 sous l’Empire et remplacée par le Chant du départ, elle est reprise en 1830 pendant la révolution des Trois Glorieuses qui porte Louis-Philippe Ier au pouvoir. Berlioz en élabore une orchestration qu’il dédie à Rouget de Lisle.
La IIIe République en fait l'hymne national le 14 février 1879 et, en 1887, une « version officielle » est adoptée en prévision de la célébration du Centenaire de la Révolution. Le 14 juillet 1915, les cendres de Rouget de Lisle sont transférées aux Invalides.
Pendant la période du régime de Vichy, bien qu'elle soit toujours l'hymne national, elle est souvent accompagnée par le chantMaréchal, nous voilà !4. En zone occupée, le commandement militaire allemand interdit de la jouer et de la chanter à partir du17 juillet 19415.
Son caractère d’hymne national est à nouveau affirmé dans l’article 2 de la Constitution du 27 octobre 1946 par la IVeRépublique, et en 1958 — par l’article 2 de la Constitution de la Cinquième République française.
Valéry Giscard d'Estaing, sous son mandat de président de la République française, fait diminuer le tempo de la Marseillaise afin de retrouver le rythme originel.
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