OPTION MUSIQUE

Ouvert à tous les élèves musiciens et/ou chanteurs désirant continuer l'enseignement musical au lycée.
Vous trouverez ci dessous les détails de ce que proposera l'option
N'hésitez pas à contacter Julie Demange pour plus d'informations. 
Les élèves auront  2h d'Atelier Musique le Jeudi soir de 17h à 18h55
​+ 1h pour l'OPTION musique au BAC  de 19h a 19h45

Musique – Option facultative –
​Baccalauréats général et technologique SESSION 2024

L’option facultative de musique ne fera plus l’objet d’une épreuve finale, mais sera l’une des notes prises en compte (à part égale avec les autres disciplines) pour calculer la moyenne globale des notes des 6 bulletins de 1re et terminale, cette moyenne générale étant dotée d’un coefficient 10.

Présentation Option musique - SITE IFS

BAC 2025 musique enseignement optionnelpar Nicolas Martello|Publié 7 janvier 2024
​Le programme d’enseignement optionnel de musique au cycle terminal du lycée général et technologique institue un programme complémentaire publié chaque année au Bulletin officiel de l’éducation nationale. Ce programme complémentaire concerne les élèves des classes de première et terminale. Il est constitué d’un corpus d’œuvres de référence et de perspectives de travail relevant des deux champs de questionnement présentés par le programme du cycle terminal.
Pour l’année scolaire 2024-2025, le corpus d’œuvres de référence est le suivant :
  • Steve Reich, Clapping music, 1972 ;
  • Nik Bärtsch, « Modul 29_14 », in album Continuum, 2016 ;
  • Olivier Messiaen, « Louange à l’éternité de Jésus », Quatuor pour la fin du temps, 1940 ;
  • Max Roach, « The Drums Also Waltzes », in album Drums Unlimited, 1966 ;
  • Fela Kuti, « Zombie », in album Zombie, 2009.
Les recherches et compositions de certains musiciens s’attachent particulièrement à l’écriture rythmique. Il peut s’agir d’études aux proportions modestes explorant une organisation du temps liée à un processus d’écriture particulier ou bien, à l’inverse, de pièces bien plus ambitieuses qui déploient un riche instrumentarium où, par exemple, seuls les timbres et le rythme, au détriment des hauteurs, structurent la forme. Entre ces deux extrêmes se situent de très nombreuses démarches où, malgré la diversité des esthétiques, des périodes, des formations instrumentales et/ou vocales, l’écriture du rythme est centrale. En d’autres termes, pour toutes ces œuvres, c’est bien le rythme de la musique, qu’il soit complexe ou à l’inverse d’une grande simplicité, qui règne avec autorité sur l’espace, la hauteur, la couleur et la forme. Mais cette hégémonie du rythme ne serait-elle pas contradictoire avec l’idée même de musique, elle-même étroitement dépendante d’une relation équilibrée entre l’écriture des différents paramètres ?
Les pièces inscrites au programme complémentaire de l’enseignement optionnel pour l’année scolaire 2024-2025 sont un point d’entrée pour découvrir et étudier ces démarches d’écriture, en interroger l’originalité, les enjeux esthétiques mais aussi sociaux (on pense bien évidemment au mouvement et à la danse sous toutes ses formes). Mais elles doivent surtout inspirer des projets musicaux de création – de recréation, d’arrangement, etc. – où l’écriture rythmique est appelée à jouer un rôle majeur.


https://www.education.gouv.fr/bo/2024/Hebdo1/MENE2330053N

Ce programme complémentaire concerne les classes de première et terminale. Les élèves réalisent un projet relevant de ce programme complémentaire constitué d’un corpus d’œuvres de référence et de perspectives de travail relevant des deux champs de questionnement présentés par le programme du cycle terminal.
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Pour l'année scolaire 2023-2024, le corpus d'œuvres de référence est le suivant :
  • Renaud Garcia-Fons, « Rock Wandering », in album The Marcevol concert, 2011.
  • Eberhard Weber, « One Summer's Evening », in album Orchestra, 1989.
  • Miroslav Vitous, « Birdland Variations », in album Music of Weather Report, 2016.
  • Jaco Pastorius, « Purple Haze », in album Blackbird, 2018.
  • Marcus Miller, « Papa Was a Rolling Stone », in album Afrodeezia, 2015.

Certes, les caractéristiques d'un instrument en orientent volontiers les fonctions dans un ensemble musical.
La contrebasse tout comme la basse électrique n'échappent pas à la règle. Si ce n'est que l'électricité puis l'électronique et le numérique sont progressivement venu élargir le champ des possibles. Les artistes proposés par ce programme complémentaire en témoignent. Les uns, contrebassistes, ne cessent d'élargir la palette des sonorités et des techniques instrumentales permettant d'en tirer parti ; ils peuvent également exploiter des technologies numériques pour simuler à eux seuls un ensemble poly-instrumental. Les autres, bassistes électriques, développent une sonorité permettant de faire valoir une technicité au service d'un discours musical où leur instrument tient les premiers rôles.
Ainsi, si la contrebasse est restée pendant longtemps confinée dans des fonctions discrètes bien qu'essentielles au sein des orchestres et ensembles, l'arrivée de l'électricité et des technologies puis l'invention de la basse électrique ont permis à cet instrument d'investir de nouvelles fonctions musicales et de diversifier la palette des expressions qu'elle pouvait investir. 
Au départ de cet exemple, on pourra s'interroger sur les évolutions récentes de la facture et des fonctions musicales des instruments comme sur les nouveaux horizons esthétiques ouverts par l'électrification/amplification.
On pourra également, en miroir, explorer les conséquences de l'électrification/amplification sur les vocabulaires esthétiques d'autres instruments (violon, piano, etc.).

Quelques concerts, spectacles fait par l'Atelier Musique Lycée - Option Musique
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